En janvier, le rapport « Voter au milieu des balles : comprendre la violence politico-criminelle au Mexique » a été présenté. Il documente qu'en 2023 il y a eu 574 incidents de violence politico-criminelle.
Chaque 20 juin on célèbre la Journée mondiale des personnes déplacées et des réfugiés. Selon les données fournies par l'Organisation des Nations Unies (ONU), vingt-quatre personnes quittent leur foyer chaque minute, fuyant des contextes de guerre, des persécutions ou des situations de terreur.
Les 9 et 10 janvier, le Xème Sommet des leaders nord-américains s'est tenu à Mexico. Avant la réunion, diverses organisations civiles des trois pays ont envoyé une lettre aux présidents du Mexique, des États-Unis et du Canada leur demandant d’aborder « les crises les plus urgentes de notre temps : la violence armée, la destruction de l'environnement et la criminalisation de la migration ».
En septembre, le président Andrés Manuel López Obrador (AMLO) a présenté son troisième rapport gouvernemental dans lequel il a abordé la situation des droits humains. Bien qu'il ait déclaré que "les droits de l'homme ne sont pas bafoués" au Mexique, plusieurs organisations civiles ont contredit ses déclarations.
L'Accord régional sur l'accès à l'information, la participation du public et l'accès à la justice en matière d'environnement en Amérique latine et dans les Caraïbes (plus connu sous le nom d'Accord d'Escazú pour avoir été adopté dans la ville costaricienne du même nom), est un instrument juridique pionnier en matière de protection de l'environnement.
Le 6 juin, des élections auront lieu au Mexique au cours desquelles 500 sièges à la Chambre des Députés, et plus de 20 300 postes locaux, dont 15 gouverneurs, seront soumis à suffrage. Elles se dérouleront en pleine pandémie de COVID-19.
Le 10 décembre, à l'occasion de la Journée Internationale des Droits de l'Homme, le rapport “ Deuxième année, une nouvelle politique des droits de l'Homme et Présentation du Programme National des Droits de l'Homme » a été présenté par le ministère de l'Intérieur.
Aussi bien pendant sa campagne qu'au moment de sa victoire électorale en 2018, le président Andrés Manuel López Obrador (AMLO) a promis au Mexique de grands changements.