Il est évident qu’actuellement le coronavirus occupe la une des journaux dans le monde entier. Ce virus qui provoque la maladie pulmonaire COVID-19 structure la vie d'une manière que nous n'avions jamais imaginé.
Au début du XVIème siècle, l'espagnol Hernán Cortés cherche lors de plusieurs expéditions la meilleure façon d'acheminer les marchandises et matières premières vers l'Espagne. Le roi Charles Quint ordonne que les trois zones les plus étroites du continent soient explorées : le Darién, le Nicaragua et l'Isthme de Tehuantepec . Au niveau de ce dernier, aucune voie fluviale ne permet le passage des navires d'un océan à l'autre.
En décembre, le président Andrés Manuel López Obrador (AMLO) a délivré un message célébrant sa première année de mandat. Il a souligné que sur les 100 engagements qu'il a pris lors de sa campagne, il en a déjà accompli 89.
Avec des grands projets comme le Corridor Transisthmique, qui connectera les ports de Salina Cruz (Oaxaca) et Coatzacoalcos (Veracruz), 47 000 hectares de concessions de mines déjà octroyées, 28 parcs éoliens et sa grande biodiversité, l'Isthme de Tehuantepec est une zone prioritaire pour le gouvernement d' Andrés Manuel López Obrador (AMLO).
“L'absence permanente de dialogue entre l'État et les peuples autochtones font de la consultation au sujet d'un projet d'investissement l'unique espace au sein duquel l'État prétend résoudre tous les problèmes de ces peuples. Cela fait ainsi peser beaucoup de pression sur les projets d'investissement”
En juin 2019, les gouvernements d'Andrés Manuel López Obrador (AMLO) et de Donald Trump passaient un accord selon lequel le Mexique s'engageait à prendre des mesures pour enrayer le niveau de migration vers les Etats-Unis depuis son territoire.
Au mois de juin, le président états-unien Donald Trump a menacé de taxer les exportations mexicaines vers les États-Unis à hauteur de 5% si le Mexique n'agissait pas contre l'immigration clandestine.
Le 22 mars 2019 ne marque pas seulement le début d’un nouveau débat sur la violence de genre au Mexique. C’est une nouvelle façon de s’attaquer à la question. Depuis que la journaliste politique Ana G. González a dénoncé l’écrivain Herson Barona via son compte Twitter, le mouvement #MeToo mexicain a ressurgi.
Aussi bien pendant sa campagne qu'au moment de sa victoire électorale en 2018, le président Andrés Manuel López Obrador (AMLO) a promis au Mexique de grands changements.